D’abord la réussite, soit l’expérience menée depuis la fin des années 80 à l’hôpital de Jonquière : chaque année, la chaufferie brûle 6000 tonnes de copeaux, soit l’équivalent d’un camion toutes les deux semaines. Un choix que ne regrette pas la direction de l’établissement, qui estime économiser ainsi plusieurs milliers de dollars par année, sans compter le gain environnemental. On fait des choix économiques. On fait des choix environnementaux. La production de biomasse forestière est beaucoup moins polluante que la production de gaz naturel, de 15 à 20 fois moins, ce qui réduit notre empreinte écologique. Lévis Sheehy, cadre supérieur, services techniques, hôpital de Jonquière.